260 milliards d'euros par an seront nécessaires à la réalisation des objectifs actuels de l'Union européenne en matière de climat et d'énergie d’ici 2030. Un chiffre important si on le compare au total des obligations vertes et sociales en circulation. Avec un encours de 27 milliards d'euros, la France est le plus grand émetteur souverain vert au monde, suivie des Pays-Bas et de la Belgique, avec respectivement près de 9 milliards et 7 milliards d'euros d'encours. 

De plus, en raison de la crise de la COVID-19, les gouvernements ont un besoin d'emprunt élevé. Cet argent est utilisé pour financer les énormes programmes de relance que les gouvernements ont annoncés pour soutenir les entreprises et les secteurs. En émettant des obligations vertes ou sociales, les gouvernements signalent clairement l'engagement de leur pays en faveur d'une économie plus verte et plus inclusive.

Comment Triodos IM investit dans les obligations vertes et sociales

Triodos IM investit dans des obligations souveraines, sous-souveraines et d'entreprises qui contribuent à un ou plusieurs de 7 thèmes de transition. 

Triodos IM investit actuellement dans des obligations vertes émises par les Pays-Bas, la Belgique, l'Irlande et la France et dans des obligations régionales émises par Madrid et la Flandre, entre autres. Certaines ont un caractère vert, d'autres un caractère social, comme la première obligation émise par la Flandre, qui est consacrée au logement abordable et à l'accès à l'éducation.
Triodos IM entend accroître son exposition souveraine et régionale aux obligations vertes et sociales et se réjouit d'accueillir l'Allemagne sur ce marché. Triodos IM encourage donc les gouvernements et les régions qui ont déjà émis des obligations vertes et sociales à accroître leurs efforts et à en émettre davantage, et invite le Royaume-Uni à suivre cet exemple.  

Pour aller plus loin

Triodos Investment Management adresse un appel aux dirigeants européens pour développer les obligations vertes. Découvrez l'article complet en anglais.